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« Une histoire d’amour avec la connaissance ne se terminera jamais en chagrin. »

Michael Garrett Marino

belle pensée mais qui est capable à cet instant de prendre leçon de sa propre vie,  nous avons tendances à faire et refaire les mêmes erreurs toujours tout le temps comme ci ceci était un défi,  prendre la vie comme elle vient et avec humour ne serait-ce pas mieux.
en amour il ne peut y avoir de dominant et de dominé, tout est question d'ensembles d'espaces, le mien, le tien, notre ensemble, nos ensembles, sans ses symboliques. il ne peut y avoir d'amour vrai et de partages équitables dans la relation dans tous ses aspects. 

ange

il n'y a pas d'amour vrai dans un couple car peu à peu s'installe un seul mot " l'intolérance" alors que l'amitié vrai n' a qu'un seul mot qui lie deux personnes la tolérance.    Ange

fidèle fidèle, je suis resté fidèle...

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                Ange

                                                    16 ans

Mes tendres Années (introduction)

il y a deux hommes en moi

Ange Pascal c'est ainsi que je me regarde dans un miroir, la face Ange est l'occulte de la face Pascal. 

très jeune déjà je prodiguais des prédictions qui inquiétaient ma maman,

elles concernaient la famille l'entourage le voisinage et s'avéraient d'une incroyables justesses à l'état brute sans psychologie, 

ça pouvait même aller jusqu'à dire "untel va mourir", évidement ceci la chagrinait, elle était l'unique témoin de mes prédictions puisque je me confiais qu'à elle, ceci nous amena un jour dans une chapelle de sœurs où le Mage Diodonné recevait des fidèles.

Ma mère voulait savoir si je n'étais pas habité par une quelconque créature Diabolique, je devais avoir 11/12 ans quand je vis le Mage, j'ai cru que c'était Dieu devant moi, un homme grand, visage serein et vêtu d'une aube écrue.

Ma maman lui demanda si j'étais normal, le Mage me prit dans ses bras 

et dit simplement, Pascal est un Ange 

il est béni des Dieux, je ne comprenais pas tout mais cette phrase là est gravée dans ma mémoire, le coté Ange me convenait mais bénit des Dieux me chagrinait, il y a donc tant de dieux, à 12 ans j'en connaissait qu'un, celui du catéchisme.

Ma langue était déjà bien pendue, je n' ai pas hésité en plein caté à répéter qu'un monsieur grand comme un Dieu m a dit qu il y avait plein de Dieu, le père Olivier devint rouge et me demanda de me taire et c'est tout.

Père Olivier pradin me cachait il quelque chose?

Il était un deuxième papa pour moi il m appelait ZEZE!!! 

Bien plus tard je me suis donc reconnu 

dans le roman de José Moreau de Vasconcellos  "allons réveillé le soleil" 

 l'histoire d'un enfant brésilien  intrépide et imprévisible qui s'appelait ZEZE pur hasard croyez moi.


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1955

Ian Jacques

Charenton le pont, mademoiselle Henriette se promène avec sa sœur et sa meilleure amie, mais qui est cet employé de mairie qui lui fait ce clin d'œil, Henriette lui répond d'un simple geste de sa main légère tandis que depuis sa fenêtre un amoureux transis l'observait tel un quasimodo regardant son Esmeralda, Ian était fou d'amour pour Henriette, mais n'osait pas lui avouer par timidité ou par retenue leur mères respectives étaient amies et voisines de palier.

Cet employé de mairie s'appelait Jacques, il avait les yeux vicieux et l'air malin, Ian s'en était bien aperçu, mais il connaissait la naïveté d'Henriette et c'était couru d'avance elle se ferait manipuler par n'importe qui.
17 ans un bac à passer avec les lauriers de la gloire et une envie de compter et de créer, couturière à ces moments perdus et très bonne comptable aussi elle l'était déjà, organisée minutieuse Henriette de son jeune âge avait de l'ambition, derrière cette détermination se cachait un point sombre aucune ambition amoureuse n'avait l'air de la perturber, et pourtant, Jacques et Ian étaient des prétendants, le timide Ian ne la quittait pas des yeux, et Jacques 
ne la lâchait pas d'une semelle, il parlait de tout mais surtout de rien au bout du compte Henriette sa sœur et son amie se gaussait de lui, mais la persévérance de Jacques était indestructible.
 
Chaque matin Henriette passait sous la fenêtre de Ian son premier admirateur qui passait son temps inlassablement
à la regarder comme ci c'était un bijou. Henriette l'air de rien connaissait les habitudes de son admirateur, elle s'en amusait, elle faisait presque exprès le même parcourt tous les jours.
Non loin d'elle Jacques surveillait sa proie, un mateur latin aux yeux lubriques, qui n'avait qu'une idée satisfaire ses glandes avec cette jeunette.
Henriette n'a qu'une idée ces temps c'est aller au cinéma un nouveau Gabin vient de sortir Chiens perdus sans collier
Une sombre dramatique ou Jean Gabin excelle dans ses intrigues et son style encore connus à ce jour.
Pour aller au cinéma il faut de l'argent et la cagnotte est vide, 2 francs la place c'est un vrai problème pour l'époque,
Ian se débrouilla comme un chef pour trouver 6 francs et emmener Henriette et Jaja au cinéma.
Le film commence : Jovial, attentif, le juge pour enfants Lamy (Jean Gabin) est foncièrement bon. Il ne croit pas plus à la vertu des coups qu’à celle des pénitenciers et il ne punit pas. Il pense que chez un enfant, il y a toujours quelque chose à sauver. Francis, un “dur” malgré ses 15 ans, né de père inconnu, orphelin d’une mère démente, flanqué d’un grand-père gâteux et d’une grand-mère alcoolique, a volé des portefeuilles dans le vestiaire d’un stade. Une heure et demie d'intrigue et de tendresse. Assis à côté d'Henriette, Ian meurt d'envie d'attraper sa main et la tenir tendrement, mais il reste discret et remet son envie dans sa poche. 
Juillet arrivait Ian n'avait encore annoncé à Henriette qu'il partait faire au service militaire, 18 mois complets avec quelques semaines de permissions jamais trop longues.
 
Verdun ville encore marquée par les 10 mois de batailles pendant la guerre en 1916, n'était remise de son aspect, deci delà on voyait bien des squelettes de constructions, et des traces de constructions abandonnées tels des navires échoués sur une plage. Cette ville grise était sinistre tout autant que ses habitants c'est dans la caserne de Miribel que les troupes sont logées, et c'est ici que Ian posera son baluchon pour 18 mois en compagnie d'une troupe d'individus timides certains et extravertis pour autres. 18 mois de communauté avec des individus parfois 
Sympas parfois plutôt cons. 
Henriette recevait les courriers de Ian tous les jours, l'armée les uniformes ce n'est pas vraiment le meilleur souvenir que l'on garde en tête quand on est né en 1938.
Les quatre premières années de Ian et Henriette ont traversées la seconde guerre mondiale, le début le pendant et la victoire. 
Toutes conversations étaient tournées autour de vagues souvenirs de seconde guerre mondiale, les chars les uniformes, les casques perdus que l'on trouvait au sol, et encore quelques squelettes de maisons abandonnées, nouveaux terrains de jeux d'ado écervelés qui pourraient trouver une vieille grenade abandonnée.
Jacques c'était rapproché d'Henriette, il n'hésitait pas à montrer ses désirs, attrapant la main ou tenant les hanches 
de la jeunette, Août 1956 l'amitié s'est renforcé entre les deux jeunes gens, la reine mère d'Henriette voyait cette relation d'un mauvais œil, échanges de clins d'œil de baisers, le 12 Aout  Henriette pris son vélo pour rejoindre Jacques, un orage assombrit rapidement le ciel et la pluie battante n'empêchait pas Henriette de se rendre à sa destination près de son amoureux, il l'attendait devant sa maison avec une serviette qui n'était franchement pas suffisante pour sécher ce corps trempé, les vêtements d'Henriette séchaient sur les dos de chaises short corsage petite culotte chaussettes et chaussures, elle est nue face à Jacques qui ne tarda pas à se dévêtir.
 
 
 
        1956
            Henriette +


La fin des vacances arrivait à grand pas, Henriette reprenait le chemin des collèges, la couture et la comptabilité, stress et fatigue envahissaient la jeune collégienne, Henriette était irascible, elle ne supportait rien et personne, elle-même ne comprenait pas pourquoi, sa tête bouillonnait accompagner d'une furieuse envie de taper sur tous ce qui bougent, sa famille et ses amis ne la reconnaissait pas, un matin d'octobre elle se leva pris le chemin des toilettes et y rendit tout son corps, son teint blême effrayait sa mère qui l'accompagnait à l'hôpital  de saint Maurice dans le Val de Marne. 
L'incroyable diagnostique tomba : " vous êtes enceinte mademoiselle " dit le docteur sur un ton sec., aussitôt dit les pensées 
Allaient vers Jacques. Henriette couru vers son lieu de travail, la mairie était déjà fermée, puis courra vers cette maison vide ou tout a commencé, il n'était pas là, seul le lit servait de témoin.
Triste mais resignée à le chercher Henriette rentrait chez elle. 
Le lendemain matin il ne fut pas compliqué de trouver Jacques fidèle à son poste, à la mairie, transportée de joie 
Henriette, s'élança vers lui et lui dit : j'ai une bonne nouvelle pour nous deux !!
Agar Jacques lui dit c'est quoi ?
Et très fier elle dit :  on va avoir un bébé !!!
Jacques pâlit ne dit rien, retenant son souffle, Henriette insista, tu n'es pas content ?
Très embarrassé il réussit à dire, j peux rien faire pour toi, 
Sur un ton sec et déterminé annonça " je suis marié et j'ai déjà un enfant". Henriette senti l'eau monter dans ses 
Yeux et le bébé vécu sa première couillonade. L'effondrement fut intense rien ne la consolait ni son bac pas même le cœur de cet enfant qui battait dans son ventre.
Ian en période de permission à quelques mois de la fin de son service militaire, vint à la rencontre d'Henriette et lui déclara sa flamme, Henriette encore dans le chagrin laisse couler ses larmes et expliqua la situation dans laquelle elle était.
Ian plein de compassion dit simplement, ça ne fait rien on l'élèvera ensemble.
Henriette leva les yeux vers Ian et constata l'amour infini et inconditionnel qu'il lui vouait elle se consola très vite et se senti protégée.
Le frère d'Henriette revint aussi de son service militaire, et surpris les amoureux en pleine discussions, 
il s'y intégra d'un ton rigolard le bout en train, quand il vit la tête défaite de sa sœur il l'interrogea, c'est Ian qui lui avoua tout le problème, Jojo furieux d'avoir appris que sa sœur fût dupée, courra chez Jacques et lui demanda à peine une explication,
Mais le corrigea comme se dût, ensuite revenu vers Henriette et en colère lui dit "ça va faire un beau batard ce môme-là"
Ce mot le batard poursuivra l'enfant toute sa vie, ce mot n'a pas été sans choquer Henriette, qui manifesta son désaccord
En boudant et passant sa main sur son ventre dit à haute voix : tu n'es pas un batard mon enfant tu seras mon bébé toute ma vie. Ian remarqua la blessure d'Henriette, l'attrapa par la tête qu'il mit sur son épaule et la consola.
le ventre pris des rondeurs et même pointa bien en avant, Avril le soleil étouffant de Paris chauffait les routes l'odeur du bitume se rependait dans l'air chaud comme si l'été était venu trop chaud.
De ses 18 ans et un mois Henriette se trainait 
 
 
 
1957


Le 5 mai l'enfant se battait dans tous les sens dans le ventre d'Henriette tel un guerrier déjà dans un drôle de combat, ce guerrier ne demandait qu'à sortir de cette enceinte pour y voir enfin le monde et ses couleurs. Il faisait si chaud avec cette atmosphère étouffante
Les odeurs de bitumes et d'eau salles des égouts remontaient à la surface, Henriette en avait des nausées.  Le 8 mai fausse alerte contractions à gogo Henriette part voir son obstétricienne, mais non rien de rien, ce n'est pas prêt, et la révolution continua dans son ventre 
9/10 mai les pas lourds et incertains elle se tenait droite comme un piquet en se tenant le ventre comme-ci il allait tomber, les 11 mai au matin Henriette pleurait sa mère la regarde et dit, tu as mal où ?  Nulle part mon lit est trempé j'ai fait pipi au lit 
La mère comprit tout de suite que Henriette perdit ses eaux, elle l emmena de ce pas à la clinique en taxi, un imbécile qui n'y allait pas de volant mort dans les virages, Henriette arriva directement dans la salle de travail il était presque midi, une heure passait, rien, quatre heures rien. 
7 heures de travail toujours rien au point ou Henriette s'écria : arrêtez de le regarder comme ça vous lui faites peur !!!  Ce n'est pas comme ça qu'il va sortir !!!  L'obstétricienne calmement dit : vous respirez vous soufflez vous poussez et vous recommencez à 21h55 le col s'ouvrit très très grand, continuez respirez soufflez poussez, encore et encore et à 22h10 la livraison était faite.
Henriette somnolait pendant que les assistantes préparaient l'enfant et l emmaillotaient. Elle put avoir l'enfant endormi peu de temps après son premier nettoyage, Henriette prit conscience de la responsabilité qui faisait face à elle, avoir un enfant c'est merveilleux, mais il faut le nourrir et c'était tout un system D qui allait se mettre en place déjà, le premier berceau du bébé était une vieille valise en carton, la maman d'Henriette avait pris beaucoup de son temps pour s'occuper de cet enfant Georges Junior. Henriette cherchait un travail, elle revint le soir 
Satisfaite elle a trouvé un travail dans un bureau classement de dossiers et rangement de pièces comptable ceci fera l'affaire.
Marie Henriette la maman était heureuse de cette nouvelle, mais se demandait qui allait garder l'enfant ?
Non loin de la maison deux sœurs gardaient des enfants, on prit quelques infos et leur confiait zézé, juste que quelques jours car très vite on remarquait le manque d'hygiène total attribué au bébé, l'amie d'Henriette connaissait bien quelqu'un mais à quelques heures de paris dans le Loiret, Lucienne avait une grande maison plusieurs chambres un jardin et un gout pour les enfants, une vraie Maman Gâteau. Une dame forte, 
Avec des lunettes avec ce sourire infini et cette voix rassurante elle gardait l'enfant la semaine et le Week end Maman le récupérait c'était la condition et les 400 francs par mois pour Henriette qui n'en gagnait que 1100.
La première semaine fût un déchirement loin de son enfant, tristesse manque de sommeil, cabine téléphonique tous les jours pour prendre des nouvelles. Les semaines passaient les mois aussi l'enfant poussait souriant heureux de vivre trop heureux mais dès ses 18 mois l'enfant se réveilla jaune de la tête au pied après la visite du médecin et son diagnostic Henriette conduisit d'urgence zézé à l'hôpital la prise charge fût immédiate. 
Une infirmière vient transmettre le message du médecin "on ne sait pas si l'enfant survivra" Henriette récupéra l'enfant et l'emmena à l'hospice religieux médical le plus proche. 
Au bout de trois jours d'inquiétudes de larmes et d'insomnie la toute maigrelette Henriette arriva et vu l'enfant à travers une vitre de la salle de repos entubé une sœur vint à elle et dit "il va bien" quelques larmes de joie coulaient le long de la joue d'Henriette.
Elle appela Lucienne et dit simplement "il est guéri". Cette deuxième maman en était ravie, elle n'attendait que son retour, Georges Junior 
Avait un visage souriant, comme s'il était toujours amusé par quelque chose que nul autre que lui ne percevait. Henriette pensait que ce bébé était bizarre pas comme les autres il y avait un lien spécial entre Henriette et l'enfant
Ian avait reconnu Junior l'enfant avait un père et une mère une famille était née.
Juillet 1959 ce fut le grand jour ; robe bleu ciel sous le genou large en bas cintrée à la taille manche longue chignon parsemée de fleurs 
Bleu ciel talon blanc et voile sur le visage, le jupon à cerceau donnait une impression de robe gonflée par le vent. Pourtant il n'y avait pas de vent, Jojo le frère et la mère d'Henriette à l'avant de la voiture et Henriette à l'arrière avec Janine sa sœur se dirigeaient vers la mairie ou Ian 
Faisait déjà les milles pas d'impatience dans la salle puis un petit cortège arriva quatre à cinq voitures pas plus.
Ce fut le jour du grand oui, avec son bouquet de fleur à la main regardait Ian au travers du voile costumé en bleu roi et en chaussure noire 
Flambante neuve, des amis étaient déjà arrivée Lucie Babette jaja René une vingtaine de personnes plus le cortège une trentaine pas plus.
L'église était même trop grande pour tout ce petit monde qui n'occupait que trois rangés au total.
C'était un petit mariage mais une grande cérémonie pour Henriette, il ne manquait que junior, et celui qui poussait déjà dans le ventre de Madame Ian.

c'est en avril 1960 que Urielle poussa son premier cri, le carré d'as était en place, 

cette petite famille modeste etait installée dans le 93 à aubervillier rue Hélçne Cochennec; 

Femme du militant communiste François Cochennec, Hélène Troubat, épouse Cochennec fut une communiste clandestine pendant l’Occupation et une agent de liaison FTPF. Arrêtée et déportée comme son mari, elle ne revint pas du camp de Ravensbruck. Elle était morte le 15 mars 1945.
Son mari, rapatrié en France le 11 mai 1945 devint trésorier de la fédération CGT des transports et maire adjoint d’Aubervilliers de 1947 à 1964.
Son beau-frère Corentin Cochennec, né en 1921, fut tué par les troupes allemandes le 2 juillet 1944 à Locqueffret (Finistère)..

Nous vivions dans un immeuble immense comme un de ces paquebots de croisières sauf que notre paquebot 

était plutot planté au bon milieu de la ville multi ethnique italiens arabes .

bref c'est ici que ian et henriette avaient fondé leur nid d'amour au beau milieu d'une ville communiste ou il était 

conseillé de toujours se promenner avec le journal l'Humanité dans sa poche.

c'est d'ailleurs ainsi que ian a trouver sont poste de travail dans un atelier d'ébéniste non loin des lieux d'habitation.

Aubervillier est une ville non calme les ethnies vivaient en semble sans se comprendre et s'adapter mais ceci 

n'arrétait pas henriette d'ailleur c'est en regardant ses pieds qu'elle avançait dans la rue, toujours déterminée.

ian rapportait le butin de son travail à la maison et henriette faisait des petites affaires de ci de là. de la vente à domicile et des remplacement en mairie.

les enfants grandissaient.

la famille aussi  Jaja attendait un enfant le premier.

Zézé était un enfant étrange qui ne se reconnaissait dans aucun des genres féminin ou masculin l'enfant avait ses marques à lui il esplorait les rôles des uns et des autres.

Zézé avait une sainte passion pour les églises et leurs occupants, Jaja avait d'ailleurs commenté

si cela continue comme ça il sera prêtre tu n es pas prête d'avoir des petits enfants avec lui, cette reflection

faisait sourire henriette et répondit et bien je serais sa seule femme.

Les Années 60

Des années graves, des années grêves.

1967 tout allait de travers rien n'allait plus du tout.

ce n'était pas qu'en france la révolution c'était partout.

depuis la mort du Lion JF.Kenedy on avait l'impression que le monde avait

basculé dans une obscurité totale.

Mais Henriette se moquais bien de tout ces fracas mondiaux:

les réunions de familles  dejeuner ou diner s'enchainaient  frère soeur 

mère et amis aussi étaient autour de la table reguliairement , verre de vin 

et rigolades gigot et pomme de terre le menue aussi regulier que que les invitations

1953 pourquoi ce temps était important, Henriette lisait relisait relisait les mots sur 

un carnet elle avait juste noté ceci " c'est ian que j'aime juste ian que lui  et pour la vie"

comme une aide mémoire elle passait son temps à lire et relire ses mots pour que son cerveau

l'intègre plus et même le grave définitivement.

c'est des décénies plus tard que ian trouva ce carnet et le lu avec ces quelques larmes d'émotion

Henriette avait 15 ans et son coeur ne battait que pour ian  et ian du même age avait un coeur qui

ne battait que pour henriette.

le résultat de ses deux coeurs ne pouvaient se résoudre que par l'union sacré et légale.

Henriette la femme active qui ne rechinait jamais devant toutes taches savaient faire plaisir 

ian etait de même générosité ce qui donnait une vision exeptionnelle du couple uni dans un même

cocoon.

 

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